Le Recap De La Sortie De La Off-White™ x Air Jordan 1 "White" Avec Virgil Abloh
“C’est une grande opportunité en tant que designer de pouvoir continuer une histoire.”






Il ne fait aucun doute que la collaboration entre Nike et Virgil Abloh pour “The Ten” a marqué 2017 de son empreinte. Pour débuter 2018, la tête pensante du label Off-White™ a décidé de remettre le couvert avec une version blanche de la Air Jordan 1 déstructurée qui avait rencontré un succès considérable l’année passée. Alors que celle-ci ne connaît pour le moment qu’une sortie exclusive au Vieux Continent, le designer de passage à Paris pour le défilé Femme de sa marque Off-White™ a présenté sa paire en personne dans la boutique Jordan Bastille. Dans une ambiance imprégnée de la patte de l’architecte américain, nous avons pu échanger quelques mots avec l’homme aux innombrables talents. De son lien avec Nike à son approche du design en passant par sa créativité, jetez un œil aux meilleurs passages de notre conversation avec Virgil Abloh ci-dessous.
“C’est une grande opportunité en tant que designer de pouvoir continuer une histoire. L’engouement autour de cette paire est irréel. Lorsque j’étais plus jeune, je ne m’imaginais pas capable de créer tout ça. Je suis toujours étonné que Nike me laisse exprimer ma créativité. J’ai encore du mal à y croire, c’est un peu comme un rêve éveillé.”
“Je m’efforce de déstructurer la chaussure, pour comprendre comment elle est construite pour ensuite l’arrêter dans le temps. C’est presque comme si elle n’était pas aboutie et c’est justement ça qui est intéressant pour moi.”
“Je puise ma créativité dans mes idées, mes pensées et les échanges ou les conversations que je peux avoir avec les gens que je rencontre. Pour moi c’est comme ça que fonctionne le design, par la capacité à projeter ces idées et ces concepts dans un objet.”
“Je fais énormément de choses et c’est ce qui me définit. Ça reflète ma passion pour la création et je ne me vois pas ralentir le rythme, c’est comme ça que je suis et c’est comme ça que je pense.”